Posté par: Antalmos
« le: mer. 17/03/2021 à 13:28 »Deuxième roman que je lis d'Alexandre Rabor après "Mes hiers assassinés" que j'avais beaucoup aimé. le style Alexandre Rabor se confirme à nouveau à la lecture de ce deuxième roman "Le vent emporte les hurlements". On aime ou on n'aime pas. Moi, j'aime.
On identifie rapidement la patte de l'auteur tant il se démarque des autres par son style, la structure du récit, des phrases et des dialogues. Par l'intrigue aussi, mêlant romance et flirtant avec le fantastique, toujours auréolée de mystère qui tient le lecteur en haleine et le pousse à tourner les pages pour lever le voile sur les zones d'ombre.
Bien que je n'ai pas retrouvé le même style poétique que dans son
premier roman, j'ai néanmoins passé un très bon moment de lecture.
Deux frères jumeaux tombent dans le coma en même temps. Tandis que l'un se réveille et n'a plus qu'une obsession : partir à la recherche de ce frère dont il n'a plus aucune nouvelle, l'autre fait toujours le même rêve et se retrouve en 1954, dans une ville qu'il a baptisée "nulle part".
Cette fois, l'auteur nous livre un roman qu'on peut également qualifier de policier, puisque ça parle d'un meurtre perpétré des années plus tôt, d'une enquête de police, de potentiels suspects, mais, et c'est ce qui amène du piment à l'histoire, le meurtrier court toujours. Bien malin le lecteur qui arrivera à l'identifier.
J'émettrai juste un petit bémol. Le contraste qu'il y a entre le début de l'histoire et le dénouement extraordinaire me fait prendre conscience que l'ensemble aurait mérité d'être mieux exploité.
En résumé, bien que je n'ai pas retrouvé dans ce roman la magie poétique de "Mes hiers assassinés", j'ai beaucoup aimé l'intrigue, relevée surtout par un dénouement surprenant, bluffant, par la révélation de sombres secrets de famille et par l'identification du meurtrier que je n'attendais pas.
Je recommande donc cet ouvrage de l'auteur. Quant à moi, je lirai avec plaisir son troisième roman "Le bleu des capricornes".
On identifie rapidement la patte de l'auteur tant il se démarque des autres par son style, la structure du récit, des phrases et des dialogues. Par l'intrigue aussi, mêlant romance et flirtant avec le fantastique, toujours auréolée de mystère qui tient le lecteur en haleine et le pousse à tourner les pages pour lever le voile sur les zones d'ombre.
Bien que je n'ai pas retrouvé le même style poétique que dans son
premier roman, j'ai néanmoins passé un très bon moment de lecture.
Deux frères jumeaux tombent dans le coma en même temps. Tandis que l'un se réveille et n'a plus qu'une obsession : partir à la recherche de ce frère dont il n'a plus aucune nouvelle, l'autre fait toujours le même rêve et se retrouve en 1954, dans une ville qu'il a baptisée "nulle part".
Cette fois, l'auteur nous livre un roman qu'on peut également qualifier de policier, puisque ça parle d'un meurtre perpétré des années plus tôt, d'une enquête de police, de potentiels suspects, mais, et c'est ce qui amène du piment à l'histoire, le meurtrier court toujours. Bien malin le lecteur qui arrivera à l'identifier.
J'émettrai juste un petit bémol. Le contraste qu'il y a entre le début de l'histoire et le dénouement extraordinaire me fait prendre conscience que l'ensemble aurait mérité d'être mieux exploité.
En résumé, bien que je n'ai pas retrouvé dans ce roman la magie poétique de "Mes hiers assassinés", j'ai beaucoup aimé l'intrigue, relevée surtout par un dénouement surprenant, bluffant, par la révélation de sombres secrets de famille et par l'identification du meurtrier que je n'attendais pas.
Je recommande donc cet ouvrage de l'auteur. Quant à moi, je lirai avec plaisir son troisième roman "Le bleu des capricornes".