Posté par: IsabelleMS
« le: lun. 24/07/2017 à 22:31 »Le texte n'est pas de moi je n'ai fait que le citer donc, dommage pour l'auteur s'il a laissé des coquilles
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Posté par: IsabelleMS« le: lun. 24/07/2017 à 22:31 »Le texte n'est pas de moi je n'ai fait que le citer donc, dommage pour l'auteur s'il a laissé des coquilles
Posté par: Apogon« le: lun. 24/07/2017 à 21:39 »
Posté par: Apogon« le: lun. 24/07/2017 à 21:34 »Il y a des fautes dans le texte
Posté par: La Plume Masquée« le: lun. 24/07/2017 à 18:45 » Article très intéressant
Merci beaucoup Posté par: IsabelleMS« le: lun. 24/07/2017 à 17:20 »Un texte que j'ai trouvé particulièrement intéressant :
C’est ainsi. Vous avez beau vous lire, vous relire et vous re-relire, il y aura toujours une faute ou une coquille qui échappera à votre attention malgré toute la concentration que vous allez accorder à cet exercice. Évidemment, pour le lecteur qui consulte votre prose, c’est une source de contrariété évidente, surtout s’il se montre très sensible au respect de la langue française. Comment lui en vouloir ? Habitué au respect de la grammaire, de la conjugaison et de l’orthographe, il trébuche lorsqu’il voit un mot écrit d’une manière qui ne correspond pas à ce qu’il sait. Cela dit, c’est avec indulgence qu’il devrait se manifester auprès de l’auteur, s’il le peut. D’abord, parce que lui-même n’est pas à l’abri de faire une erreur. Ensuite, parce que des des mécanismes psychologiques, sont en jeu ! C’est le phénomène de la généralisation. Questionné à ce sujet le psychologue Tom Stafford, de l’université de Sheffield, expliquait il y a deux ans que « lorsque vous êtes en train d’écrire, vous essayez de transmettre du sens. C’est une tâche de très haut niveau. Nous ne prêtons pas attention à tous les détails, nous ne sommes pas des ordinateurs ou des bases de données de la NSA ». Et d’ajouter : « Quand nous relisons notre propre travail, nous savons le sens que nous voulons transmettre. Parce que nous nous attendons à ce que le sens soit là où il doit être, il est plus facile pour nous de manquer tout ou partie des portions qui manquent. La raison pour laquelle nous ne voyons pas nos propres coquilles est que ce que l’on voit à l’écran rivalise avec la version qui existe dans nos têtes ». Deux versions rivalisent : celle dans notre tête et celle à l’écrit Les lecteurs, eux, n’ont pas ce problème. Ils découvrent le texte pour la première fois et ne sont donc pas soumis à cette rivalité entre le texte qu’ils ont dans la tête et le texte qui est affiché à l’écran. C’est pour cela que l’on repère plus facilement les fautes et les coquilles des autres que les siennes. Mais pour autant, cela ne doit pas servir d’excuse pour ne pas limiter la casse et chercher à s’améliorer.”
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